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fim

18 août 2010

black beauty

L'histoire, racontée à la première personne, est l'autobiographie d'un cheval nommé Black Beauty, qui commence sa vie poulain dans une ferme anglaise. Le roman raconte les mésaventures de ce cheval, vendu par ses premiers propriétaires, jusqu'à devenir cheval de fiacre dans les rues de Londres. Tout au long de l'histoire, Black Beauty est confronté à la cruauté ou la sympathie des hommes, et continue à faire le travail qu'on lui demande avec courage. Chaque chapitre du roman raconte un incident de la vie de Black Beauty et contient une leçon ou une morale en rapport avec le traitement des chevaux à l'époque. Le roman d'Anna Sewell a d'ailleurs contribué à l'amélioration du sort des chevaux londoniens[1].black_beauty

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18 août 2010

flicka 2

Carrie, une jeune adolescente de la ville, voit sa vie changer complètement lorsqu’elle déménage sur un ranch pour vivre avec son père. Heureusement, elle fait la rencontre de Flicka, un mustang noir et sauvage qui à l’esprit libre et une volonté de fer, tout comme Carrie. Les deux forment un lien spécial et Carrie ouvre enfin son cœur à son père et à un beau garçon du coin. Cependant, quand un rival jaloux met la vie de Flicka en danger, Carrie doit tout faire pour sauver son meilleur ami…flicka_2

18 août 2010

hidalgo

Tiens! En tant qu'historienne, j'en ai profité pour faire quelques
recherches sur le bonhomme? A-t-il existé? Les évenements décrits
dans le film sont-ils réellement arrivés? Ce genre de choses...

Les résultats...

Le film "Hidalgo" retrace un épisode véridique de Franck T. Hopkins,
un métis Sioux ayant travaillé pour le Poney Express et engagé
comme messager dans le 7ème Régiment de cavalerie US.

NB: Au début du film, est relaté le [vrai] massacre de Wounded
Knee, fin décembre 1890, par des soldats de ce 7ème Régiment
de cavalerie [certains d'entre-eux étaient des vétérans
de Little Big Horn, je vous laisse imaginer l'état d'esprit]

En 1890, à la demande du cheik Sheikh Riyadh (Omar Sharif),
Franck T. Hopkins (Viggo Mortensen) et son Mustang Hidalgo sont
engagés pour participer à une course arabe mythique, l"Océan de
feu", un parcours d'endurance de 5000km à travers les déserts
d'Arabie Saoudite, d'Irak et de Syrie.

C'est le premier non-Musulman à participer à cette course,
une course jusqu'alors réservés aux familes princières célèbres.
Une course qui va l'opposer aux meilleurs cavaliers bédouins.
et à leur montures Pur-Sang.

Après cet exploit, Franck T. Hopkins participa durant la première
moitié du 20ème siècle à plus de 400 courses de cheveaux
dans l'Ouest, jusqu'à l'age de 67 ans.

hidalgo

Il milita activement également pour la survie des espèces sauvages
dans le Montana et en Oklahoma, jusqu'à sa mort, en 1951,
à l'âge de 86 ans.

Les cinq doublures d'"Hidalgo" du film ont été sélectionnées dans
le troupeau de mustangs sauvages de Gilbert Jones, qui galope
dans les verts paturages de l'Oklahoma. C'est-à-dire parmi
les descendants du vrai Hidalgo.

18 août 2010

flicka

!Le père de Katy voudrait qu'elle fasse des études, mais la jeune fille n'a qu'une envie : travailler dans le ranch familial, dans le Wyoming. Lorsque Katy découvre une jeune jument sauvage, elle la recueille et la baptise Flicka. Malheureusement, le père de Katy projette de vendre la jument. Afin que Flicka puisse retrouver sa liberté et pour prouver à son père qu'elle peut prendre la relève du ranch, Katy s'inscrit en cachette à une dangereuse course de chevaux sauvages. Mais Flicka est issue d'une lignée de chevaux indomptablesflicka

18 août 2010

captivity

"Imaginez le pire" nous prévient l'affiche du film Captivity sorti le 8 août dernier. Eh bien, après l'avoir vu, je peux vous confirmer que, pour une fois, le slogan ne ment pas.

Je n'aime pas les critiques qui démolissent systématiquement. Derrière un film d'une heure et demie, il y a beaucoup de travail et, après tout, "si tu n'aimes pas c'est ton droit, mais n'en dégoûte pas les autres" disait ma grand-mère. Mais là, je suis énervé, aussi je préviens : cet article a pour but de démonter film et vous le gâchera de toutes les façons possibles, y compris en vous racontant la fin. Donc si vous souhaitez tout de même avoir la possibilité d'apprécier ce film, éviter de lire ma critique, mais si vous ne comptiez pas le voir, voici quelques raisons supplémentaires pour cela.


Captivity
raconte l'histoire d'un mannequin joué par Elisha Cuthbert (la fille de Jack Bauer dans 24) qui est enlevée et torturée par un maniaque. Roland Joffé, cinéaste que j'admire par ailleurs pour Mission, The Killing Fields (La Déchirure) et même – le croiriez vous ? – Vatel, a réalisé, parfois avec un certain talent, un film assez détestable. Je veux bien croire qu'il a vu son film comme une réflexion sur la célébrité, et que c'est la raison pour laquelle il a voulu rendre si glamour cette prison crasseuse. En fait, le parti pris esthétique, avec une image presque toujours saturée vers une couleur primaire, mettant bien en valeur la beauté d'Elisha Cuthbert (y compris par les jolies traces noires sur son visage quand elle se salit un peu), est au final plus dérangeant qu'autre chose : il ne nous fait pas adopter le point de vue de la victime, mais bien celui du bourreau – bourreau dont on ne voit pas le visage et qui boit un verre de bordeau en observant sa prisonnière par un moniteur vidéo. (Ça sonne pour vous comme un cliché ? Bien vu ! j'en profite pour vous inciter à lire l'article sur conventions et clichés sur ce blog.)

Le scénario est écrit par Larry Cohen, auteur de Phone Booth (film qui m'avait déjà agacé, et dans lequel jouait Jack Bauer soi-même dans le rôle d'un Dieu rédempteur armé d'un fusil à lunette - ce qui devrait vous donner une indication de ce qui m'avait gêné).

Dans Phone Booth, le yuppie joué par Colin Farell devait se libérer de son péché d'orgueil sous la menace d'une arme.
Dans Captivity, le tueur psychopathe est encore une fois présenté comme le déclencheur d'une libération. Ici, c'est une belle jeune femme qui doit abandonner… quoi au juste ? Son maquillage ? Ses talons aiguilles ? On ne sait pas vraiment car le personnage nous reste lointain, extérieur, et qu'au fond, sa seule faute est d'être une femme séduisante. Il semble cependant que le scénariste cherche à lui reprocher de jouer un rôle devant les caméra. Bien sûr, elle ment aux médias pour se protéger ! Est-ce un tort ? Surtout on sait qu'elle s'en est sortie toute seule et qu'elle a utilisé sa beauté pour devenir quelqu'un. Elle mérite donc apparemment d'être punie pour ça.

Je ne pense pas que le film soit misogyne par intention (mais c'est vrai que l'histoire d'une femme kidnappée et torturée juste parce qu'elle est une femme, ça peut prêter à confusion) mais il n'en est pas moins sexiste, plus par la maladresse de sa narration que par ses intentions.
Certes le dialogue rappelle – d'une façon assez balourde – que les hommes sont toujours ceux qui excercent des violences sur les femmes et, pour ceux à qui cela aurait échappé, le plan de fin insiste bien sur le fait que l'image glamour de la féminité est la vraie prison (de façon si évidente que c'en est agaçant).

 

Et même, je veux bien admettre que le mannequin joué par Elisha Cuthbert soit prisonnière de sa beauté, de sa célébrité et de son image et que le film raconte son trajet pour s'en libérer. Mais tiens examinons un peu quelle libération nous est proposée. Simone de Beauvoir, Mary Wollstonecraft, Clara Zetkin, tenez vous-bien ! voici le secret de la libération féminine par Larry Cohen…

Dans l'exposition, Elisha Cuthbert explique en interview que pour elle, il n'y a pas d'homme idéal
("mister right" en V.O.) et qu'elle a peur du nor. Et on se doute bien que la première déclaration est un peu mensongère et que la deuxième servira plus tard. On n'a pas tort d'ailleurs : lors de sa captivité, pour lutter contre sa peur du noir, le jeune mannequin rêve à voix haute qu'un homme idéal la protège.

Bien sûr, il s'avère qu'elle a un compagnon de captivité, dans la cellule voisine, qui, malgré les conditions relativement dramatiques où ils se trouvent tous deux – ou peut-être à cause d'elles – parvient à la séduire (admettons). Tout cela s'explique en réalité par le fait qu'il est un ignoble manipulateur complice du psychopathe (je vous avais prévenu : si vous n'avez pas vu le film, maintenant il est totalement gâché). Au final, Elisha Cuthbert doit donc se débrouiller toute seule pour s'en sortir (mais au fait, n'est-ce pas ce qu'elle avait fait avant dans la vie ?). Elle rampe dans les conduits d'aération et éteint la lumière pour désorienter son ex-boyfriend psychopathe (affrontant ainsi seule sa peur du noir, vous avez saisi la métaphore ?). Puis elle tue le méchant. Et là, on est sûr qu'elle est a présent libre, parce que c'est le serial killer lui-même qui nous le dit, au moment d'agoniser sur le sol (ne riez pas).

En fait, les psychopathes sont décidément utiles ! Ils enlèvent les femmes pour les torturer, et les manipuler, mais tout cela est justifié par le fait que, si elles survivent, cela s'avère un excellent moyen de les libérer de leur pêché (qui semble être d'utiliser leur beauté pour s'en sortir dans la vie et de faire confiance au premier manipulateur venu – heureusement tout cela peut s'arranger si elles adoptent une attitude plus virile face à la vie, et qu'elles abandonnent leurs façons perverses).
Et pour ceux qui n'aurait pas encore compris, quel est le symbole final marquant la libération de l'héroïne de cette fable navrante ? Croyez-le ou non, c'est qu'elle tire au fusil à pompe sur une affiche publicitaire qui la représente en train de vanter un parfum. Je sens qu'on avance à grand pas vers une solution contre les violences faites aux femmes.

On remarquera au passage que dans ce film, pour qu'une femme se libère par elle-même, il faut que tous les personnages masculins, sans exception, meurent violemment.

Effectivement, si c'est la seule solution, les femmes ne sont pas prêtes d'être librescaptivity

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18 août 2010

michael myers

Michael Myers naît le 31 octobre 1957 dans la petite ville bien tranquille d’Haddonfield. Il commet son premier meurtre à l’âge de six ans sur sa propre sœur Judith. A la suite de quoi, il est enfermé au sanitarium de Smith’s Grove, où il est placé sous la surveillance du Dr Loomis. Durant son séjour, aucun son ne sort de sa bouche… jusqu’à son évasion lors d’une nuit d’orage de 1978. Michael rejoint alors sa ville natale, bien décidé à tuer le dernier membre vivant de sa famille, sa sœur encore vivante, Laurie Strode, qui a été confiée à une famille d’adoption. La nuit du 31 octobre 1978, il s’en prend à ses amis. Blessée, Laurie est emmenée à l’hôpital où son frère la rejoint, bien décidé à terminer son œuvre. C’est compter sans le Dr Loomis, qui arrivera à le neutraliser. Suite à une explosion, Michael Myers se retrouve dans le coma.
Quelques années plus tard, il parvient à nouveau à s’échapper et cette fois-ci pourchasse sa nièce, Jamie Lloyd (la fille de Laurie Strode qui a simulé sa mort et a changé d’identité). Mais le Dr Loomis veille et parvient à capturer Michael Myers. Ce dernier reçoit l’aide d’un mystérieux individu qui le fait s’échapper de prison. Michael devient alors le prisonnier d’une secte mais parvient à échapper à ses geôliers, retrouvant Jamie alors âgée de 16 ans, celle-ci ayant donné naissance à un enfant, qu’elle parvient à cacher avant d’être assassinée.
Mais reste une survivante à traquer… Car Laurie Strode vit toujours cachée en tant que directrice d’une école privée sous le soleil californien. Michael la retrouve en 1998, mais l’affrontement tourne à l’avantage de Laurie, désormais prête à tenir tête à son frère. Profitant d’un moment d’inattention, le tueur masqué parvient à mettre un garde à sa place, qui finit décapité par Laurie. Sous le choc, celle-ci est internée, n’attendant qu’une chose : que Michael la retrouve. Ce qui finit par se produire. L’affrontement tourne au désavantage de Laurie, qui est poignardée par Michael avant de faire une chute du toit de l’asile où elle était internée. Michael retourne alors dans sa maison natale à Haddonfield où se déroule une émission de télé-réalité. Il n’apprécie pas la situation, massacrant les participants du jeu, les uns après les autres. Laissé pour mort, il est emmené à la morgue… Mais l’ est-il vraiment ?
michael_myers

18 août 2010

masacre a la tronconeuse

voici lhistoire vrais:Massacre à la tronçonneuse est inspiré de faits réels. Le 20 août 1973, la police du Texas fit une macabre découverte dans la ferme de Thomas Hewitt, ancien employé d'abattoir : les restes de 33 victimes humaines. D'horribles crimes perpétrés par un sinistre individu arborant les masques de chair de ses victimes et toujours muni d'une tronçonneuse, auquel fut donné le surnom de Leatherface... masacre_a_la_tronceuneuse

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